L’épisode #4 du Goût du Capri-Sonne explore l’usage que Sup de Sub et ses étudiant·e·s font des arts, de la culture classique et de ses outils : comment retournent-ils et elles leur instrumentalité à leur avantage, pour leurs propres intérêts, c’est-à-dire pour que les membres qu’ils et elles sont d’une jeunesse contrainte par la pauvreté et son faisceau d’inégalités puisse augmenter leurs perspectives et développer une vie choisie. On y parle d’une contre-instrumentalisation, comme on parlerait d’une contre-culture.
En deuxième partie d’émission, Alphonse Clarou, auteur et éditeur, l’un des piliers de l’équipe d’intervention parle de l’usage de l’art philosophique à Sup de Sub et de son importance. Il évoque notamment John Dewey et le mouvement pragmatiste américain.
Cet épisode annonce le suivant, Le goût du Capri-Sonne#5, qui sera son pendant, la face B de sa proposition ; il portera sur la création artistique autonome.
Avec
Naïla, étudiante de la promo 2 de Sup de Sub Marseille
Basile, étudiant de la promo 3 de Sup de Sub Marseille
Jean Michel Bruyère, cinéaste et concepteur de Sup de Sub avec Mark Hubbard
Alphonse Clarou, docteur en sciences théâtrales, philosophe, intervenant de Sup de Sub – MARK HUBBARD
L’émission est animée par Julien Chollat-Namy, membre de LFKs et intervenant à Sup de Sub – MARK HUBBARD.