Art de l’écoute consacré cette semaine à l’Inaudible, de ce qui est imperceptible à l’oreille, ou difficile à entendre, au sens propre comme au figuré. L’inaudible comme limites de nos capacités auditives. l’inaudible comme choix esthétique ou normatif. Ou encore l’inaudible, comme restriction de notre compréhension. La programmation cette semaine sera aussi éclectique que ce qu’est l’inaudible: des compositions électro-acoustiques, de la création sonore, un entretien, de la fiction, et du documentaire.
1) Extrait The magnetic city, Christina Kubisch -13’31- 2008
2) Extrait Aquaculture, Jana Winderen – 17’51 – 2011
3) Ghostly sounds of a vibrating Antarctic Ice Shelf, Julien Chaput – 0’42 – 2015
4) Dispersion in Ice sheet, Andreas Bick – 1’59 – 2005-2006
5) Metal Machine Music, Lou Reed – 64’11 – 1975
6) I am sitting in room, Alvin Lucier – 45’24 – 1981
7) Radio Compresse, Marie Surel – 5’05 – 2005
8) Micro-frottoir, Thomas Guillaud-Bataille – 2’36 – 2007
9) Extrait d’entretien dans l’Art des Sons de Matthieu Saladin pour sa Capture de l’inaudible – 2020
10) Débruitage, Christophe Deleu et François Teste – 53’32 – 2012
11) Tout de suite les grands mots, Norah Benarrosh-Orsoni – 19′ – 2019
Réalisation : Anne-Pauline Serres accompagnée par Chloé Despax