Marseille sur Ecoute – Les Corbières
Le compositeur Lucien Bertolina reconstitue le paysage sonore de son enfance : la digue de Corbières, à l’Estaque -Marseille.
Archives de l'émission : Paysages sonores
La Ville sur un plateau – Point d’écoute avec Daniel Deshays
Un panorama d’écoute de la ville à N.D. de la Garde, le 7 avril 2009, en compagnie de Daniel Deshays, ingénieur du son, enseignant à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre.
Radia #189 – Bloody Manaus
Au début de l’hiver 2007-2008, Pali Meursault a passé 15 jours à Mamori Lake avec d’autres artistes sonores venus du monde entier, dans le cadre du Mamori Art Lab.
Engrenages 2008 – Kelmori, sur les îles du Frioul avec Yannick Dauby
En avril 2008, une dizaine de personnes, autour du compositeur et artiste sonore Yannick Dauby, est allée écouter le Frioul, archipel de Marseille.
Les deux pieds dans la terre
02 MAI 2008 – Des jardins poussent de partout. Et ils ne sont pas tous privatifs, grillagés et clôturés. Partagé, collectif, pédagogique, mais aussi sensible et planétaire, le jardin peut être une manière d’envisager « écologiquement » notre monde commun. L’art, comme mode de relation entre les hommes, y trouve un terreau fertile et ce alors même que l’espace public se rétrécit de plus en plus. Explorons sans les dénaturer quelques-unes de ces propositions…
Radia #160 – War on the other side
War on the other side / La guerre de l’autre côté, par David Bouvard, est la traversée d’un paysage de guerre médieval japonais, tiré d’extraits de films d’Akira Kurosawa mêlés de manifestations sonores quotidiennes urbaines et rurales.
Gilles Clément illustré par Marseille : le tiers-paysage de la L2
MARS 2008 – Bien que Gilles Clément n’ait jamais vécu à Marseille, le paysage marseillais semble avoir été conçu tout exprès pour illustrer les idées que le paysagiste développe depuis une dizaine d’années. Les friches urbaines du “tiers-paysage” ne sont nulle part aussi épanouies que dans cet espace urbain plein de lisières, de brèches et de discontinuités. Et si le laisser-aller de la ville faisait finalement partie de ses atouts ?